Panamá Papers

No, a vos te quedan dudas que los que están metidos en estos quilombos lo hacen para evadir impuestos?

si. No sé si es para evadir impuestos, para lavar dinero o para esconder documentos. Puede ser para cualquier cosa.

Todos ilícitos. Te das cuenta que estás discutiendo por discutir nomas? :lol:

Citame expresamente donde dije que abrir una sociedad fantasma no era para cometer ilícitos? Y si… ya ni sé que mierda discutimos, choque esos cinco.

1 me gusta

1 me gusta

Pero si uno de los pilares de su discurso es luchar contra la corrupcion, ¿como puede ser que haya sido director de este tipo de organizaciones, asi no haya tocado un dolar? Deberia estar hasta moralmente en contra de este tipo de instituciones

Que esa plata tiene que estar reinvertida en el estado, sino no tenemos patria hermano, no creces si sacas la plata que haces en argentina a otro país, es lógica hermano

1 me gusta

No nos hagamos los patriotas con la guita del otro. Si bien lo que decís es coherente y adhiero, cada uno con su guita se hace su barrilete.

No es guita del otro, es guita de todos los Argentinos porque esa guita si hubiera estado declarada entra más guita por impuestos, además que si declaras que tenes mayor capital se te presiona a que generes más empleo, etc, va todo de la mano.

Pasa que la plata que esta en paraisos, muchas veces no esta solamente para evadir impuestos, sino para ocultar su procedencia. El lio esta en la disonancia con su discurso anticorrupcion. El no puede formar parte de organizaciones donde se codea con gente que hace plata sucia, porque se estaria contradiciendo. Que haga lo que quiera con su plata, mientras sea bien habida, pero si no se corresponde con lo que dice, esta en nuestro derecho llamarlo mentiroso, hipócrita, y tomar con pinzas sus acusaciones a cualquier persona sobre el mismo tema. En parte tenemos un pais pobre porque nuestros empresarios como Macri, no reinvierten en el pais en la misma cantidad que fugan.

4 Me gusta

Ojo que yo hablé en general. Pero por lo demás si, estoy de acuerdo.

2 Me gusta

que risa ayer, laurita Alonso en Fantino…“yo voy a investigar al presi Mau…” si… capaz hasta le abren una causa para sobreseerlo como hicieron con todos los ilicitos de su familia.

1 me gusta

Que lindo! Empecemos a evadir impuestos todos! Total es plata nuestra! Que el pais se cague, que los servicios sean una mierda, etc etc!

Y si, Delia es un caradura… Al igual que Castro y toda esa caterva de hijos de re mil putas. TODOS.

Los Kirchner tambien lavaban por medio de Mossack Fonseca segun el diario frances Le monde ???

lalala… no se perdió ninguna esta conchaseca de mierda…

Alguno que sepa francés:

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/14/panama-papers-l-influent-quotidien-argentin-la-nacion-dans-la-tourmente_4902133_4890278.html

« Panama papers » : l’influent quotidien argentin « La Nacion » dans la tourmente
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/04/14/panama-papers-l-influent-quotidien-argentin-la-nacion-dans-la-tourmente_4902133_4890278.html#16fw2iLeJIihULAv.99

Ironie du sort : après le président de centre-droit, Mauricio Macri, c’est au tour de l’influent quotidien conservateur La Nacion d’apparaître dans le scandale des « Panama papers », sur lequel enquête justement le journal argentin.

La Nacion fait partie des 108 médias internationaux associés à l’enquête du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) sur les « Panama papers ».

Lire aussi : « Panama papers », la révolution du journalisme collaboratif

Les journalistes du quotidien n’imaginaient sans doute pas tomber sur une embarrassante révélation en découvrant les noms du puissant groupe de presse La Nacion S.A. et de son directeur, Luis Saguier, dans les papiers du cabinet d’avocat panaméen Mossack Fonseca, qui ont permis de révéler une vaste opération d’évasion fiscale dans le monde.

Moins de 10 % du capital

Une découverte qui « date de ces derniers jours », a expliqué le quotidien dans son édition dominicale du 10 avril, « car une grande partie des 11 millions de documents auxquels La Nacion a pu avoir accès, grâce au ICIJ et au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung, sont toujours en cours de traitement ». Dans un bref communiqué, le journal a expliqué à ses lecteurs que, à la suite de la vente de ses activités d’annonces immobilières et d’offres d’emploi, en 2015, le groupe s’est retrouvé au capital d’une société créée par l’intermédiaire de Mossack Fonseca : Navent Group Ltd, dont l’une des filiales se trouve au Panama. « Les actions représentent moins de 10 % du capital de Navent », a minimisé le communiqué, tout en admettant que M. Saguier siège au conseil d’administration de Navent Group Ltd. Le quotidien a précisé que les informations concernant cette prise de participation avaient été enregistrées à l’époque auprès du registre public du commerce.

Lire aussi : L’Argentine va pouvoir retourner sur les marchés financiers

Depuis le début de l’enquête des « Panama papers », La Nacion a multiplié les articles soutenant que les sociétés offshore ne sont pas illégales. Au siège du quotidien, dans la banlieue de Buenos Aires, on garde le silence et en particulier les journalistes chargés de l’enquête. La Nacion a soutenu la candidature présidentielle de M. Macri, aujourd’hui éclaboussé par la découverte de trois sociétés offshore où apparaît le nom du chef de l’Etat. A son arrivée au pouvoir, le 10 décembre dernier, M. Macri avait promis transparence et lutte contre la corruption.

Multiplication des scandales

Les scandales se bousculent à Buenos Aires, consolidant la conviction des citoyens de vivre dans une société profondément corrompue où ils doutent de connaître, un jour, la vérité et de voir condamner les coupables.

D’un côté, l’affaire des « Panama papers », dans laquelle sont impliquées quelques 600 personnalités argentines. De l’autre, le défilé quotidien et médiatique devant les tribunaux d’anciens collaborateurs du gouvernement péroniste de Cristina Kirchner (2007-2015), impliqués dans des scandales de corruption. L’ex-présidente s’est présentée devant la justice mercredi 13 avril pour de présumées malversions de la Banque centrale, peu avant son départ du palais présidentiel.


http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2016/04/14/en-argentine-cristina-kirchner-harangue-la-foule-et-fait-son-retour-sur-la-scene-politique_4901752_3222.html

En Argentine, le retour politico-judiciaire de l’ex-présidente Cristina Kirchner
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2016/04/14/en-argentine-cristina-kirchner-harangue-la-foule-et-fait-son-retour-sur-la-scene-politique_4901752_3222.html#spQRCFF3QLomR7sm.99

Impliquée dans plusieurs affaires de corruption, l’ancienne présidente péroniste Cristina Fernandez de Kirchner (2007-2015) a transformé sa première convocation devant la justice, mercredi 13 avril à Buenos Aires, en un retour fracassant sur la scène politique.

Sous une pluie battante, des milliers de partisans l’ont accompagnée jusqu’aux portes du tribunal de Comodoro Py, dans le centre de la capitale, insultant le juge Claudio Bonadio qui avait cité Mme Kirchner à comparaître dans le cadre d’une opération présumée de spéculation sur les taux de change menée par la banque centrale, durant les dernières semaines de son mandat. D’après le gouvernement actuel, qui était dans l’opposition à l’époque, l’opération a fait perdre des centaines de millions de dollars à la 3e économie d’Amérique latine.
Quatre mois de silence

Refusant de répondre aux questions du juge, Mme Kirchner a présenté un écrit dans lequel elle dénonce « un exercice abusif du pouvoir judiciaire » dans ce dossier. « Ils peuvent me convoquer, vingt fois, me mettre en prison, mais ils ne me feront pas taire », a lancé Cristina Kirchner, à sa sortie du tribunal, perchée sur une estrade d’où elle a prononcé un discours enflammé de plus d’une heure. Souriante et sobrement vêtue d’un tailleur gris et chemisier blanc, elle s’est présentée en victime d’une persécution politico-judiciaire, accusant durement la justice, les médias et le gouvernement du président de centre droit Mauricio Macri, qui lui a succédé le 10 décembre 2015. Elle a appelé à la création d’un « grand front citoyen », incluant les syndicats.

« Nous allons revenir », scandait la foule. Depuis son départ du pouvoir, le 9 décembre dernier, après avoir refusé de participer à la cérémonie d’investiture de son successeur, Mme Kirchner gardait le silence, recluse dans sa demeure d’El Calafate, en Patagonie. La citation d’un juge lui a permis de reprendre sa place sur l’échiquier politique argentin au moment où le mouvement péroniste est affaibli par des divisions internes.

C’était il y a quatre mois : La défaite historique du péronisme
« L’impunité, c’est terminé »

Haranguant ses partisans, Mme Kirchner a cherché à faire revivre les récits mythiques des persécutions politiques en Argentine, faisant allusion à l’ancien président radical Hipólito Yrigoyen, renversé par un coup d’Etat militaire en 1930, et au général Juan Domingo Perón, renversé en 1955 et contraint à l’exil pendant 18 ans. Rappelant qu’à l’époque, il était interdit de prononcer le nom de Perón, Mme Kirchner a affirmé d’un ton moqueur être « convaincue que s’ils pouvaient interdire la lettre K de l’alphabet, ils le feraient ».

Il est fort probable que Cristina Kirchner soit à nouveau convoquée par la justice dans le cadre de plusieurs affaires de corruption et de blanchiment d’argent, ce que l’on a baptisé à Buenos Aires « la route de l’argent K ». « En cherchant la route de l’argent “K”, ils ont trouvé la route de l’argent “M” », a ironisé, mercredi, Cristina Kirchner, faisant allusion au scandale des « Panama Papers », dans lequel le nom de M. Macri apparaît dans le directoire de trois sociétés offshore de son père, Franco Macri, millionnaire et puissant capitaine d’industrie.

Affaire des « Panama papers » : le président Mauricio Macri sous pression

Le gouvernement se défend de toute ingérence dans les affaires judiciaires. « L’impunité, c’est terminé. Nous sommes tous égaux devant la loi », a déclaré, le 12 avril, le président Macri. Cristina Kirchner, 63 ans, ne bénéficie d’aucune immunité depuis qu’elle a quitté le pouvoir, après deux mandats consécutifs.

La 2da nota.

Involucrada en varios casos de corrupción , la ex presidente peronista Cristina Fernández de Kirchner (2007-2015) dio la primera llamada a la justicia, el miércoles, 13 de abril en Buenos Aires, y tuvo una reaparición en la escena política .

Bajo una lluvia torrencial, con miles de seguidores que acompañaron a las puertas de los tribunales de Comodoro Py, en el centro de la capital, Claudio Bonadío había citado Kirchner, que aparece como parte de una supuesta operación de especulación sobre el tipo de cambio liderado por el banco central durante las últimas semanas de su mandato. Bajo el actual gobierno, que estaba en la oposición en el momento, la operación costó cientos de millones de dólares para la 3ª economía de América Latina.
Cuatro meses de silencio

Negandose a responder a las preguntas de la juez, Kirchner presentó un documento en el que denunció “un abuso del poder judicial " en esta carpeta.” Me pueden llamar veinte veces, mandarme a la cárcel, pero no me van a silenciar", comentó Cristina Kirchner , cuando salía del tribunal, se alzó sobre una plataforma donde pronunció un encendido discurso de más una hora. Sonriendo y sobriamente vestida con un traje gris y una blusa blanca, se presentó como una víctima de una persecución política y judicia , con dureza acusando a la justicia, los medios de comunicación y el gobierno del presidente de centro - derecha, Mauricio Macri, que le sucedió 10 de diciembre de 2015. Pidió la creación de un “gran frente ciudadano”, incluidos los sindicatos.

" Volveremos ", cantó la multitud. Desde que salió de la oficina , el 9 de diciembre, después de negarse a participar en la inauguración de su sucesor, Kirchner se quedó en silencio, recluida en su casa de El Calafate, en la Patagonia. La cita de un juez le permitió tomar su lugar en la escena política argentina cuando el movimiento peronista está debilitado por las divisiones internas.

Eso fue hace cuatro meses: La derrota histórica del peronismo
"La impunidad ha terminado "

Arengando a sus seguidores, la señora Kirchner buscó revivir los mitos de la persecución política en Argentina, en referencia a radicales ex presidente Hipólito Yrigoyen, derrocado por un golpe militar en 1930, y el general Juan Domingo Perón, volcado en 1955 y obligado a exiliarse durante 18 años . Recordando que en el momento en que estaba prohibido pronunciar el nombre de Perón, Kirchner dijo burlonamente ser «convencido de que si podían prohibir la letra K del alfabeto, lo harían."

Es probable que Cristina Kirchner sea de nuevo convocada por la justicia en varios casos de corrupción y lavado de dinero, lo que se ha llamado en Buenos Aires “ruta del dinero K”. "Mediante la ruta del dinero K “, encontraron el rastro del dinero” M “,” bromeó el miércoles Cristina Kirchner, en alusión al escándalo “Documentos de Panamá”, en el que el nombre de Macri aparece en el directorio de tres empresas en alta mar de su padre, Franco Macri, millonario y poderoso magnate de la industria.

Caso de los “Panamá papers”: la presión del presidente Mauricio Macri

El gobierno niega cualquier interferencia en los asuntos judiciales. "La impunidad ha terminado. Todos somos iguales ante la ley ", dijo, el 12 de abril, el presidente Macri. Cristina Kirchner, de 63 años, no goza de inmunidad desde que dejó el cargo después de dos períodos.

---------- Mensaje unificado a las 20:13 ---------- El mensaje anterior habia sido a las 19:57 ----------

Vamos a la otra de LeMonde que subio oscar

" Documentos de Panamá " Mossack Fonseca abusa del nombre de la Cruz Roja para ocultar el dinero sucio.


La pareja Kirchner en la causa.

Este conjunto habría servido sobre todo para desviar decenas de millones de dólares de fondos públicos en la Argentina. En 2013, periodistas argentinos descubrieron una red de corrupción y lavado de dinerodel ex presidente Néstor Kirchner y Cristina Fernández de Kirchner que sucedió a su marido en 2007 y dejó el cargo en diciembre de 2015. La pareja presidencial, entre otros, habría extraido fondos afuera del país con la ayuda de un hombre de negocios (lazaro baez). Habría lavado $ 65 millones en Nevada usando muchas empresas, de acuerdo con el fiscal encargado del caso argentino.

De acuerdo a los documentos de la justicia estadounidense, estas empresas offshore tienen una cosa en común: están controlados por dos empresas ficticias registradas por Mossack Fonseca Seychelles: Aldyne Ltd. y Garins Ltd. Sobre el papel, estos no pertenecen a MF, pero sí a la Faith Foundation. Y así es como, sin saberlo, la Cruz Roja se encontraba en accionista de compañías que controlan el botín supuestamente “secuestrado” por el clan Kirchner.

Este caso pone de manifiesto el juego de las escondidas que la empresa panameña tenía con la justicia . En un testimonio ante los tribunales de Estados Unidos , un empleado de Mossack Fonseca dijo que las empresas Aldyne y Gairns " de hecho no pertenecen a nadie . " Esto es estrictamente correcto, ya que la fundación en Panamá no necesita de un propietario, solo de beneficiarios . Sin embargo, el grupo de control Mossack Fonseca, Faith Foundation lo utiliza regularmente como pseudo - accionista.

.

Los que pegan notas de infobae y clarin sobre el tema; a menos que lo hagan en chiste, como un sarcasmo, antes lean este blog de Alconada Mon que por acá viene la posta…

1 me gusta

Puede ser que le monde haya desmentido la nota de infobae sobre la vinculacion de Cristina con panama pappers???

---------- Mensaje unificado a las 02:48 ---------- El mensaje anterior habia sido a las 02:40 ----------

http://www.diariojunio.com.ar/noticia.php?noticia=75899